Printemps 867 - Mi-saison

Tour 2.1 : Météo
La mi-saison s’annonçait à l’opposée de ce qu’avait été le début du printemps. La température monta en flèche à l’approche de la pleine Tanaari, alors qu'Inga était pour sa part à son croissant. Le sol avait séché sous l’effet de Drom et les bourgeons envahissaient finalement les branches des feuillus. Les pousses timides fleurissaient désormais. En une semaine, les frondaisons se firent denses et le couvert, complet. La température moyenne de la mi-saison se situe autours de 22 degrés celsius, soit bien au-delà de la normale (12 à 14 degrés). Les pluies sont présentes, mais peu fréquentes et peu abondantes.

Tour 2.2 : Détermination des actions
[Rappel : Vous disposez de 3 « points d’action » (PA). Une action complète vous coûtera 3 points, une action principale 2 et une action secondaire 1 seul.]

Lhassa regardait les jeunes pousses dans le grand champ, il faudrait attendre encore avant la premiére récolte et l'espoir d'ensemencer un autre champ avec une partie des premiéres graines récoltées. Elle avait peur que cette surface ne suffise pas à l'alimentation de la petite colonie ... d'autant qu'en cas de disette elle ne serait sûrement pas la première à manger...
Il fallait qu'elle parle à la Dame Margot mais elle aurait aimé s'occuper de l'irriguation du champ en améliorant les canaux grâce au gisement d'argile découvert il y a peu, les températures élevées pour la saison et le peu de pluie risquaient vite d'assécher la terre.
Quant aux venaisons ramenées par les chasseurs il faudrait probablement en traiter une partie et les fumer en l'absence de sel, mais pour cela il faudrait des récipients, l'argile chauffée au feu pourrait peut être servir à cela si toutefois dame Margot l'autorisait à tenter de faire un peu de poteries. Celles ci pourraient être précieuses afin de conserver le gibier et les poissons avant l'arrivée de l'hiver.

(donc si on ne lui donne pas d'ordre contraire, elle envisage une action principale agricole: entretien du champ et irriguation en utilisant son systéme, une secondaire "poterie" en vue du fumage des viandes ou du poisson qu'ils voudront stocker pour l'hiver, si en même temps aux champs elle peut jouer de ses flutes d'herbe elle sera ravie)

Margot ne s'opposa pas aux idées de Lhassa. La petite lui semblait fort débrouillarde.

[Le champs n'a pas besoin d'action principale pour son entretien. Une action secondaire est suffisante pour l'entretien et système d'irrigation. Lhassa devra cependant investir une action secondaire pour ramasser argile. Elle devra cependant choisir entre utiliser l'argile ainsi récolté pour le système d'irrigation ou pour la poterie, à moins qu'une âme charitable ne se décide à lui prêter main forte, ce qui lui permettrait de faire les deux : pour le moment on aurait donc argile (secondaire), entretien (secondaire) et poterie (secondaire). À revoir si quelqu'un se propose pour l'argile].

Margot établit ensuite les tâches de chacun, d’un commun accord avec eux. Agnès récoltera les roseaux (principale) et ira pêcher avec Frédélin (secondaire). Éderic poursuivra son travail et continuera de surveiller et de faire paître le cheptel (action complète). Frédélin ira chercher du bois avec Méliore (principale) et ira pêcher (secondaire). Isen entraînera Margot (secondaire) et se propose d’entraîner aussi Julien au maniement des armes, s’il le veut bien (principale). Margot le charge d’en parler lui-même à Julien. Jean poursuivra la construction de la maisonnette. Il est prévu qu’elle sera prête à la fin du printemps. Margot ira à la chasse (Principale) et s’entraînera avec Isen (secondaire). Elle demande en outre à Marion de se charger de tondre les mouton et d’en filer la laine (secondaire). Méliore continuera à aller chercher le bois avec le chariot (principale) et patrouillera en Ronce-est : C-4 pour prévenir l’approche possible des créatures.

(Premières réflexions, à continuer demain!)

Luci était fière de son devoir envers le feu sacré mais était attentive aux efforts de ses camarades. Si elle pouvait se rendre utile quelque part, elle le ferait. C'est pour cela qu'elle proposa son aide à Lhassa, pour l'argile.

Si Lhassa et Margot acceptent cette proposition... (entendons s'il n'y a rien de plus urgent).

*Les grands yeux de Lhassa pétillent de joie incrédule à la proposition d'aide de Luci et elle s'empresse d'accepter ravie*
(reste la décision de la dame!)

On dit que le printemps donne des ailes...
En tout cas, Marion s'en sentait pousser! Son cerveau fourmillait d'idées, et elle débordait de motivation.
Elle se disait que ce doux soleil n'allait pas tarder à faire mûrir baies et graminés, et qu'elle pourrait partir à la cueillette. Lhassa saurait certainement les accommoder en tartes ou en gruau.
Peut être même que certaines espèces sauvages pourraient être domestiquées et cultivées dans les champs de la baronie.
Elle espérait aussi que ses filets serviraient à la pêche, elle était prête à en faire d'autres si on lui permettait de détresser une autre corde. (Et elle songeait vraiment à suggèrer à Margot de faire pousser du lin ou du chanvre.)
D'ailleurs elle pourrait peut être pêcher elle aussi. Elle avait vu les hommes de Mithel le faire une centaine de fois, elle s'en sentait capable.
Luci et elle pouvaient veiller sur le Feu sacré à tour de rôle à présent. Ce qui dégageait du temps libre à chacune pour aider aux travaux de la colonie.
Poussée par un enthousiasme grandissant, elle se leva subitement, fit signe à Luci de veiller sur le Feu, puis s'en alla trouver Margot pour lui faire son exposé.

[Donc en gros, si j'ai bien compris et si c'est possible , Marion dépensera 1 point pour l'entretient du feu et 2 points pour la cueillette "ou" la pêche....ben ouais je sais bien que ça ne pourrait pas être "et"....pffff faut toujours choisir, j'aime pas çaaaaa!^^
(Vraissemblablement ce sera cueillette, mais je me donne encore quelques jours de réflexion en fonction de ce que lui répondra/ordonnera Margot et de ce que feront les autres.)]

Margot accueilli favorablement le fait que Luci aide Lhassa en lui rapportant de l’argile, pour autant qu’elle n’abandonne pas sa tâche principale. Margot accepta que Marion et Luci se relaient pour la surveillance du feu. Elle refusa cependant de permettre que la seule corde qui leur restait soit elle aussi détressée. Elle rappella à Marion que celle-ci aurait déjà fort à faire avec la laine des moutons.

[En somme, Marion peut prendre une action secondaire pour surveiller le feu, mais devra aussi prendre une action secondaire pour tondre les moutons et filer la laine (voir ci-haut). Il ne lui reste donc qu’une action secondaire pour la ceuillette ou la pêche. Aussi, la surveillance du feu sacré demande un total de 3 actions pour le tour. Cela signifie que si Marion n’y investit qu’une action secondaire, Luci devra y investir une action principale. À moins qu’une troisième personne ne se propose pour le surveiller, auquel cas chacun n’aura à y mettre qu’une action secondaire. À noter, vous pouvez faire autre chose pendant que vous surveillez le feu, pour peu que cette activité puisse être pratiqué à l’intérieur de la tente et ne demande pas trop de déplacements. Évidemment, « l’expérience spirituelle » liée au feu sacré s’en trouve alors supplantée par l’autre activité].

wouéééééééééééééé baston wouéééééééééééééé !!!!

Mais pas tout le temps, maintenant que Julien connait la rive et qu'il fait chaud, pas de raison de pas pecher !
Plouf !

masklynn porte un grand intérêt à la pêche, surveiller les filets paraît être une activité plein d'avenir. Admirer le paysage alentour demande beaucoup de concentration, il semble important qu'une personne soit constamment à la surveillance de ce filet pour prévenir en cas de soucis.

Dès le soir venu, alors que Dion et Barbenfeu entre dans le pavillon, Margot s'enquiert immédiatement de leurs propositions concernant les créatures. Voir Tour 2.2 - Printemps 867 : Le camp maudit

(Ah maintenant que j'ai bien lu, en fait puisque je laisse Marion gambader, je m'appliquerai à surveiller le feu avec 2 PA, et donc argile 1PA ... Argile c'est simple "récolte" ou aussi façonnage ?)

Surveiller le feu sacré... Luci était toujours satisfaite de cette tâche importante, et voir Marion prendre plus de temps pour autre chose ne la dérangeait pas. Chacune était contente de sa place donc tout allait pour le mieux. Luci se demanda tout de même si leur cauchemar n'avait pas poussé la jeune fille à s'éloigner du feu... Elle se demanda aussi comment les autres percevaient son apparente inactivité... Elle leur demandera peut être, un de ces jours. De toute façon, Luci allait mettre la main à la pâte et aider Lhassa, si enthousiaste à récolter de l'argile. Elle se réjouissait d'avance.
Elle espérait aussi rapidement améliorer sa manière de communiquer, afin de pouvoir en parler avec le reste de la colonie. Elle fit donc en sorte de tenter d'écouter toutes les conversations possibles et de parler avec les quelques mots qu'elle avait retenu, avant de s'en remettre à ses langues connues.

[bon, donc, si j'ai bien compris, et vu que ça ne semble pas gêner Luci, je ne mettrai qu'un point à la surveillance du feu pour aller tondre les moutons (c'est quand même pas juste pask'irl je déteste ces put*** de bestioles), tâche à laquelle j'accorderai 1point . Il me reste donc 1 point pour la cueillette. Ca va pas remplir beaucoup de panier ça^^.
En plus le vieux veut que je taille des flèches...moi j'veux bien tant qu'il me demande pas de tailler des pi...non rien, assez de HRP.]

[Ouais, va t'occuper des bêtes, c'est bien pour améliorer l'odeur typique des "amis de la nature"... Hum ]

[Suite... lire d'abord le dialogue]

Ils se couchèrent tôt pour être fin prêt le lendemain. Cette nuit là, Luci vit un cavalier, portant armure, qui s’avançait dans une masse grouillante et sombre qu’elle devinait être une mer de créatures de la nuit. Il frappait de sa lance autour de lui et chaque coup porté s’accompagnait d’un éclat lumineux. Le preux semblait indomptable…
Avant le lever du jour, Margot enfila sa cotte de maille et se mit en armes avec l’aide d’Isen. Isen l’imita ensuite, demandant à Julien de l’aider. Les autres membres de l’expédition firent de même avec leur équipement plus modeste. Ils partirent ensuite, non sans que la Dame n’ait d’abord donné quelques dernières consignes à Jean. Ensemble, ils firent route cinq heures durant, et atteignirent enfin le gué. Là, ils marquèrent un temps d’arrêt et partagèrent un repas, tandis que Luci et Julien installaient le camp temporaire.
La troupe se sépara ensuite. Avant leur départ, Lucindiel s’adressa aux vaillants, leur donnant du courage et de la confiance en eux, car on lui avait montré que la force serait de leur côté. Elle proposera de prier ensemble, d’invoquer la protection de Tintagel et de ses pairs, laissant à chacun le soin de s’adresser aux instances supérieures les plus en harmonie avec leur âme.
Margot, Isen, Barbenfeu et Méliore franchirent le gué. Les deux groupes reprirent la route, en longeant la rivière, sans se perdre de vue. Environ cinq cent mètres avant d’atteindre le camp repéré par Dion, le groupe de la rive nord s’éloigna du rivage afin de prendre position sur la colline. Le voyage avait été relativement calme jusque là, mais à l’approche de la bataille, les cœurs battaient la chamade. Ils s’avançaient nerveusement vers l’inconnu… [la suite ici]

[Ajout qui n'a rien à voir avec le "projet" du camp maudit, mais concernant la saison (si possible) :
Lucindiel, même pour le peu que cela pourrait lui rapporter, profite de ses sorties et prends quelques petites heures sur la saison pour regarder si des herbes utiles (médicinales) peuvent se trouver près du camp. Elle tâche de faire quelques descriptions à ses camarades au cas où certains tomberaient dessus durant leurs escapades. On ne sait jamais, cela pourrait servir, et des plants pourraient être récupérés pour être "cultivés".]

Le soleil venait juste de se lever et tentait de dissiper la brume matinale. Marion veillait sur sa lanterne avec ferveur comme pour s’empêcher de penser à ce qui allait se passer là-bas…
Elle fixait l’horizon en espérant le retour de ses compagnons. Elle réalisa que même si elle ne les connaissait pas encore beaucoup, ils étaient en passe de devenir des amis, enfin, la plupart d’entre eux. En tout cas, elle avait bien besoin d’eux.
Soudain, une silhouette apparut au loin, tirant Marion de ses pensées. Marion distingua un homme, portant une longue toge, usée par d’innombrables voyages. Il semblait paisible mais fatigué. Il avait un âne bien chargé à ses côté. Il avait de toute évidence aperçut Marion bien avant que celle–ci ne le voit, puisqu’il se dirigeait droit vers elle. « Holà étranger ! » dit Marion malhabile, nerveuse à l’idée d’accueillir un voyageur en l’absence des maîtres.
Entendant Marion, Lhassa qui se préparait à partir au champ, sortit de la tente en nouant ses cheveux. « Salut ! », répondit l’homme en levant la main en signe de paix. « Je ne suis que de passage, je vous assure, et je ne demanderai pas asile chez vous. Je ne tiens pas à vous embarrasser… pourrais-je cependant profiter de votre feu pour réchauffer ma pitance ? ».
Marion fut heureuse de constater que l’homme parlait l’Astrien du Nord : cela allait simplifier les choses !
Lhassa fut heureuse de constater que l’homme parlait l’Azalais : cela allait simplifier les choses !
[La suite à cet endroit :Tour 2.3.2 - Printemps 867 : Le passage du voyageur]

Au gué, Luci mettait en place le campement de fortune et s’apprêtait à recevoir les blessés. La troupe n’était partie que depuis une heure, mais elle appréhendait déjà le retour. Julien était parti chercher du bois… d’ailleurs, ça devait bien faire une heure aussi. Merde… « Julien ? ». Luci tendit l’oreille. Aucune réponse ne lui parvint. « JULIEN ? JUUUUULIIIENNNN ?»

"Pourvu qu'il ne soit pas allé jouer les héros ! Cette mission avait l'air de lui donner des ailes... Misère ... Si on me tombe dessus en plus..."

Julien avait enfin de vraies responsabilités ! Il devait garder le camp ! Il se faufilait discrètement de rocher en rocher, et guettait autour l’arrivée de l’ennemi. Quand il repérait une herbe haute hostile qui avait survécu au passage de l’hiver, il lui faisait sa fête en la fauchant de son javelot. Il ne s’éloignait pas trop du gué cependant, conscient que, d’un moment à l’autre, le grand dadais pourrait revenir blessé… parce que si blessé il y avait, ça allait évidemment être le grand mooosieur.

« Julien… ». Son nom avait résonné comme un écho lointain. Il fallait revenir au camp… l’elfette ne pouvait pas s’passer de lui. Julien décida donc de rebrousser chemin, mais son regard fut attiré par quelque chose…
[voir la suite]

La troupe était partie le matin même. C’était un jour pluvieux aux odeurs d’humus. Le ciel nuageux ne laissait filtrer que de pâles rayons. Marion marchait pieds nus au bord du lac, tenant fermement la petite lanterne. La surface de l’eau s’agita. Rapidement, une vague surnaturelle se forma sur la rive opposée et se dressa devant Marion tel un mur d’eau, si haut qu’elle n’en percevait pas le sommet. Le mur semblait prêt à s’écrouler sur elle à tout moment.
Une tête entièrement constituée d’eau, de forme serpentine, en sortit lentement. Elle devait faire environ deux mètres de diamètre. Lentement, elle ouvrit grande sa gueule et une voix basse, étouffée, mais fluide, se fit entendre : « Va ! Va à la rencontre de la dame de pierre ! »

Le jour s’assombrit pour devenir nuit. La vague se figea en une surface de pierre irrégulière, faiblement éclairée par les reflets rouges de Tanaari décroissante. La tête se fondit à rebours dans la falaise ainsi créée, ne laissant que l’ouverture béante de sa gueule d’où s’échappait la source de la rivière. Marion se tenait au bord du lac, en pleine nuit [en C6 sur la carte de la Baronnie ], contemplant le reflet de la lune rouge et du croissant blanc d’Inga.

Elle n’avait pas souvenir de s’être déplacée jusque-là. Prise de stupeur lorsqu’elle réalisa qu’elle n’avait pas la lanterne en sa possession, elle courut jusqu’au pavillon. Lorsqu’elle y entra, tous y étaient assoupis. Marion soupira de soulagement lorsqu’elle aperçut la lanterne allumée à côté de sa couche.

Marion s'assit sur sa couche et inspira profondément en prenant la lanterne entre ses jambes.
Elle se demandait quelle était la signification de ses rêves. D'abord le feu qui s'anime pour devenir malin, puis l'eau qui devenait roche...Luci avait-elle rêvé comme elle cette fois ci? Il faudrait qu'elle lui demande. En espérant que, si ce n'était pas le cas, Luci la croie tout de même saine d'esprit...
Elle se demandait d'ailleurs si elle avait vraiment rêvé. Elle s'était quand même étrangement trouvée au bord du lac.
Avait-elle somnambulé?
Qui était cette dame de pierre?
Marion voulait savoir.
Elle hésita à laisser la lanterne Sacrée à coté de Luci, mais elle avait besoin de sa présence qu'elle trouvait rassurante. Et puis la nuit, le feu l'éclairerait, plus que ça, il la guiderait. Elle en était persuadée. Elle avait l'intime conviction que si on l'avait nommée gardienne du feu sacrée, le feu, lui, était devenu son gardien.
Elle se leva serrant sa main sur la lanterne et marcha, pieds nus, vers le lac...

[Ok… je confirme : vous avez trop picolé au jour de l’an. L’événement a lieu alors que la troupe blessée est de retour au gué. Dion et Luci ne sont donc pas présents à la baronnie cette nuit là : il ne peut donc (malheureusement j’en conviens) pas intervenir et Marion ne peut pas se demander si elle laisse la lanterne à Luci (ou alors c’est moi qui a trop picolé et j’ai mal compris le sens de « Elle hésita à laisser la lanterne sacrée à coté de Luci, mais elle avait besoin de sa présence qu'elle trouvait rassurante ». Tu disais ça au sens général (« je ne fais jamais confiance à Luci ») ou ponctuel ?)

Après, si Marion veut en parler au retour de la troupe, on ouvrira un dialogue^^].

Eleuther a écrit:elle courut jusqu’au pavillon. Lorsqu’elle y entra, tous y étaient assoupis.

Avec cette phrase, j'avais compris que tout le monde était rentré, puisque, à peu de choses près, autour du gué, ça me paraissait terminé.

Sinon, pour préciser:

« Elle hésita à laisser la lanterne sacrée à coté de Luci, mais elle avait besoin de sa présence qu'elle trouvait rassurante ».

Marion a toute confiance en Luci, c'est pourquoi, au contraire, elle pense qu'il serait plus sage de lui laisser la lanterne. Mais elle préfère l'emmener car elle trouve la lanterne rassurante.
Je me fais mieux comprendre là?

Aaaaaaahhhhhh... Oui. Je comprends maintenant (je suis un homme, ça me prend du temps ) la confusion. Le "tous" désignait les gens présents .