Carte des environs de la baronnie

Cette carte correspond à l’Est du carreau B4 et au carreau C4 de la carte Ronce-Est. Pour référence : la baronnie est situé au pied de la source d'Hudor, situé au coin Nord-Ouest.

Toponymie

Bois des chanterelles (le) : Ce bois tient son nom d’une grande talle de chanterelles découverte par Barbenfeu. La localisation exacte de cette talle est toutefois gardée secrète par le gourmand… Tout comme celle de la talle d’ail des bois.

Bois aux fougères (le) : Ce bois présente dans ses sous-bois une variété rare de fougère géante.

Bois aux Gobs (le) : C’est dans cette forêt que la bataille du printemps 867 contre les créatures maléfiques découvertes par Dion et Barbenfeu eut lieu.

Bois de l’ours (le) : Un immense ours a été aperçu dans cette forêt. Les mauvaises langues (Méliore et Frédélin pour ne pas les nommer) prétendent que sa taille gigantesque est sans doute fort relative étant donné qu’il fut observé par un nain…

Bois des saules (le) : Toute la partie sud de ce bois, qui est en contact avec la Fange, est spongieuse. Les saules y sont prédominants.

Bois des sentinelles (le) : Nul ne sait pourquoi, mais quand on se promène dans ce bois, on a constamment l’impression d’être épié.

Bois des terriers (le) : Ce bois est riche en petits mammifères et il est aisé d’y repérer des terriers de lièvres… et de renard.

Bois-sapin : Contrairement à la plupart des forêts de la région, celle-ci est essentiellement composée de conifères, principalement des sapins.

Collines brûlées (les) : Cette série de grandes collines, qui peuvent atteindre jusqu’à 400 mètres d’altitude était autrefois boisées, mais un grand incendie de forêt rasa, il y a une dizaine d’années toute la forêt qui s’étendait sur leurs flancs entre le bois aux fougères et le bois des sentinelles. La végétation reprend lentement ses droits, mais les collines ont conservé ce nom.

Digue (la) : Construite par des castors, cette énorme digue a causé l’inondation des terres au nord. L’existence même du ravage est tributaire de cette digue.

Doigt de Gaïa (le) : Le doigt de Gaïa est un imposant monolithe dressé vers le ciel d’une trentaine de mètres de hauteur qui domine une fertile plaine herbeuse. Le bloc semble avoir été grossièrement sculpté.

Dominante (la) : Ce mont ne fait en somme que 500 mètres d’altitude, mais sa position géographique isolée le rend visible de très loin et en fait un point de repère essentiel de la région.

Faille (la) : Une profonde faille de près de huit kilomètres déchire la plaine herbeuse qui s’étend à l’est du Grand plateau rocheux. Le fond de cette faille est inondé.

Fange (la) : « …c’était le nom que Barbenfeu avait donné à un grand marais situé à une douzaine de kilomètres au sud-est de la baronnie »

Forêt d’Alderon (la) : Alderon, le fils d’un chef du clan Leets s’était aventuré dans cette forêt à la recherche de son esprit-totem. Plutôt que de revenir vers son clan, il y élut domicile et y mourut en ermitage.

Fosse (la) : Cette vallée boisée de cinq kilomètres a un dénivelé abrupt et forme une grande cuvette circulaire naturelle.

Grand plateau rocheux (le) : Ce plateau de douze kilomètres est de fait composé de cinq énormes blocs de granit.

Gué (le) : Point de passage obligé de qui veut passer du nord au sud et inversement. C’est à proximité de ce Gué que Julien découvrit la grotte aux Slimgoths.

Lac des deux monts (le) : Ce grand lac est coincé entre deux monts. Les vents y sont tournoyants et il est difficile d’y naviguer à la voile.

Lac de l’étoile (le) : Ce lac possède cinq grandes baies aux berges rocailleuses.

Lac à la grenouille (le) : Après une journée de chasse peu fructueuse, Barbenfeu repéra une grenouille de bonne taille sur la berge de ce lac. Il semble que le nain ne soit jamais parvenu à s’en faire un repas… On sait peu de choses de cet « incident » de chasse, Barbenfeu se renfrognant chaque fois qu’il est fait mention de ce batracien.

Lac à la luciole (le) : Barbenfeu nomma ce lac ainsi lors d’une de ses haltes, ayant aperçu une unique luciole, la première de son printemps 867.

Lac aux ombles (le) : Les eaux froides et profondes de ce lac sont favorables à la prolifération de plusieurs espèces d’ombles.

Lac des tourtes (le) : Les tourtes sont particulièrement abondante autour de ce lac

Lande aux pierres (la) : Dans cette plaine sèche à la végétation éparse, on trouve de nombreux blocs de pierres de bonne taille et de grandes moraines qui dépassent parfois la taille de trois hommes, déposés là par l’antique passage d’un glacier.

Longue falaise : Une falaise de trois kilomètres de long domine ici la rive nord de la grande rivière. Elle atteint une vingtaine de mètres à son point le plus élevé.

Marais aux îlots (le) : En raison de ses caractéristiques géomorphologiques, cette plaine reçoit les eaux de ruissellement des monts environnants. Elle est, en conséquence, inondée en permanence sur six kilomètres (dans son sens le plus large). De nombreuses parties plus hautes y sont cependant à sec.

Mont rouge (le) : La terre ferreuse de ce mont lui confère une teinte rouge.

Petit boisé (le) : Bordant le sud de la baronnie, ce boisé relativement jeune est composé de diverses essences d’arbres, principalement des feuillus.

Pic des anges (le) : Des nuages s’accrochent constamment à ce mont qui fait près de 800 mètres, lui donnant un air céleste.

Plaine aux bosquets (la) : De petits boisés parsèment cette plaine giboyeuse.

Plateau nu (le) : Le sommet de ce plateau est sablonneux. La végétation y est pratiquement absente.

Ravage (le) : Ce marais duquel surgit d’innombrables arbres noyés accueille de nombreux gros mammifères dont un troupeau d’élans.

Rivière aux criquets (la) : Le chant de nombreux criquets accompagne les crépuscules aux abords de ce cours d’eau.

Rivière bleue (la) : Le lit de cette rivière contient de petits coquillages qui lui donnent une apparence turquoise.

Rivière aux lupins (la) : Les rives de cette rivière sont couvertes de lupins. On parfois trouve de cette fleur jusqu’à deux kilomètres de la rive.

Rivière noire (la) : Cette rivière est de fait un réseau de rivières, qui prennent leurs sources dans le Marais aux îlots. La rivière ne tire pas son nom de la qualité de son eau qui est parfaitement potable et limpide, mais de la profondeur de la rivière, qui lui confère en certains endroits un aspect sombre.

Rocaille (la) : À cet endroit se trouve un amas de roches considérable, comme si une partie du Grand plateau avait été pulvérisé par le marteau d’un titan.

Source d’Hudor (la) : De cette grotte s’échappe la grande rivière qui sépare les parties nord et sud de l’arrière-pays ronçois.

Tanière (la) : Une grande grotte naturelle s’ouvre dans le flanc d’un petit plateau situé au nord de la plaine aux bosquets. Barbenfeu s’est plu à imaginer que c’était le repère d’un dragon.

Termitière (la) : La région au nord du Grand plateau rocheux compte de nombreuses termitières, mais aucune de se compare à celle-ci, dont la base fait 20 mètres de diamètre. Sa cheminée principale atteint huit mètres de hauteur.

Val des Goths (le) : Cette vallée encaissée présente des traces du passage de Goths, ces mastodontes à tête osseuse utilisés comme bête de transports des marchandises lorsque les routes sont inaccessibles aux chariots.